Re: Boudet : La vraie langue Celtique et le Cromleck de RL
Posté : 04 sept. 2024, 10:10
Bonjour à tous et toutes...
Hitza hitz (une parole est une parole) ou autrement dit, chose promise chose dûe...
On a souvent le tort de négliger la table des matières d'un bouquin car elle nous parle du cheminement intellectuel de l'auteur... Concernant Boudet, avouez que l'aide la plus infime ne saurait être négligée...
Remarquons d'abord que deux chapitres portent le même intitulé "langue celtique", ce qui n'est pas banal... Puis vient "langue Hébraïque" et "langue punique" mais pour trouver la langue Basque il faut descendre d'un niveau car elle est reléguée au rang de paragraphe (le troisième)) du chapitre "famille de Japhet"...
On peut se demander pourquoi la langue basque n'a pas droit à un chapitre bien à elle puisqu'elle s'étend sur 14 pages, soit presque autant que le chapitre de la langue punique... Patrice relèvera au passage ce Pi astucieux...
Et puis que vient faire cette famille de Japhet entre la langue punique et la langue celtique ??? D'autant plus que seules les 6 premières pages du chapitre concernent cette lignée, le reste n'ayant aucun rapport apparent...
Pourtant, il semble évident que l'objet de ce chapitre est bien la langue Basque... D'abord parce que le paragraphe se situe au centre du chapitre (2 avant et 2 après) et surtout parce qu'il n'est pas question de la "famille de Japhet" mais uniquement de Gomer et ses fils, l'ancêtre des Cimmériens et donc des Tectosages... Or il existe dans le sud-ouest, à la limite du pays Basque, un petit bled appelé Gomer... Ainsi, alors que le lecteur est persuadé que l'anglais est la seule langue primitive, Boudet a caché une seconde langue celtique dans un petit recoin de son bouquin et l'a annoncé aux yeux de tous en intitulant 2 chapitres "langue celtique"... Sa vraie langue celtique est une langue à tiroirs...
Accessoirement, le paragraphe commence page 112 et celui décrivant le cromlecK de RlB commence page 224 qui est d'ailleurs imprimée trop bas (qu'en est-il sur un exemplaire original ???).…
Cela expliquerait peut-être pourquoi il a fait porter un exemplaire au savant Basque Antoine d'Abadie d'Arrast (un AAA qui aurait fait chaud au coeur de notre Hercule... ) qui a contribué à figer la langue Basque en faisant la synthèse des différents idiomes des 7 provinces et en établissant un dictionnaire pour la postérité...
Quittons le pays Basque et revenons à nos moutons ou plutôt à notre agneau de Dieu...
Pages 78 et 79, Boudet traduit les noms de Josué et de Jésus... Le premier par "gouvernement de Jéhovah" et le second par "délivrer, gouverner"... Nous avons là une belle opposition entre la prédestination de Josué et le libre-arbitre de Jésus qui nous délivre de la dictature théocratique... Curieusement, il en rajoute une couche en parlant de "Jésus fils de Marie" et pas "fils de Dieu"... Étonnant, non ???
Quelques lignes plus loin il nous narre le combat de David (serviteur de Saul, donc du Roi) contre Goliath le géant Philistin... Comme chacun sait la fronde de David mit à bas le géant, tout comme la fronde du Roi Louis XIV parvint à imposer le gallicanisme au géant Romain (le Pape)...
Vous verrez bientôt que la table des matières et certains paragraphes nous réservent encore quelques surprises...
Hitza hitz (une parole est une parole) ou autrement dit, chose promise chose dûe...
On a souvent le tort de négliger la table des matières d'un bouquin car elle nous parle du cheminement intellectuel de l'auteur... Concernant Boudet, avouez que l'aide la plus infime ne saurait être négligée...
Remarquons d'abord que deux chapitres portent le même intitulé "langue celtique", ce qui n'est pas banal... Puis vient "langue Hébraïque" et "langue punique" mais pour trouver la langue Basque il faut descendre d'un niveau car elle est reléguée au rang de paragraphe (le troisième)) du chapitre "famille de Japhet"...
On peut se demander pourquoi la langue basque n'a pas droit à un chapitre bien à elle puisqu'elle s'étend sur 14 pages, soit presque autant que le chapitre de la langue punique... Patrice relèvera au passage ce Pi astucieux...
Et puis que vient faire cette famille de Japhet entre la langue punique et la langue celtique ??? D'autant plus que seules les 6 premières pages du chapitre concernent cette lignée, le reste n'ayant aucun rapport apparent...
Pourtant, il semble évident que l'objet de ce chapitre est bien la langue Basque... D'abord parce que le paragraphe se situe au centre du chapitre (2 avant et 2 après) et surtout parce qu'il n'est pas question de la "famille de Japhet" mais uniquement de Gomer et ses fils, l'ancêtre des Cimmériens et donc des Tectosages... Or il existe dans le sud-ouest, à la limite du pays Basque, un petit bled appelé Gomer... Ainsi, alors que le lecteur est persuadé que l'anglais est la seule langue primitive, Boudet a caché une seconde langue celtique dans un petit recoin de son bouquin et l'a annoncé aux yeux de tous en intitulant 2 chapitres "langue celtique"... Sa vraie langue celtique est une langue à tiroirs...
Accessoirement, le paragraphe commence page 112 et celui décrivant le cromlecK de RlB commence page 224 qui est d'ailleurs imprimée trop bas (qu'en est-il sur un exemplaire original ???).…
Cela expliquerait peut-être pourquoi il a fait porter un exemplaire au savant Basque Antoine d'Abadie d'Arrast (un AAA qui aurait fait chaud au coeur de notre Hercule... ) qui a contribué à figer la langue Basque en faisant la synthèse des différents idiomes des 7 provinces et en établissant un dictionnaire pour la postérité...
Quittons le pays Basque et revenons à nos moutons ou plutôt à notre agneau de Dieu...
Pages 78 et 79, Boudet traduit les noms de Josué et de Jésus... Le premier par "gouvernement de Jéhovah" et le second par "délivrer, gouverner"... Nous avons là une belle opposition entre la prédestination de Josué et le libre-arbitre de Jésus qui nous délivre de la dictature théocratique... Curieusement, il en rajoute une couche en parlant de "Jésus fils de Marie" et pas "fils de Dieu"... Étonnant, non ???
Quelques lignes plus loin il nous narre le combat de David (serviteur de Saul, donc du Roi) contre Goliath le géant Philistin... Comme chacun sait la fronde de David mit à bas le géant, tout comme la fronde du Roi Louis XIV parvint à imposer le gallicanisme au géant Romain (le Pape)...
Vous verrez bientôt que la table des matières et certains paragraphes nous réservent encore quelques surprises...